Tribalink

 Les événements qui se déroulent actuellement sur la scène politique internationale, et surtout en Europe, ne manqueront pas d'avoir des répercussions sur les pays du sous-continent. Il s'avère que tout le discours contre l'islamisme radical amorcé en Europe et la mise à nue de l'idéologie qui est derrière le terrorisme islamiste, a gagné l'adhésion de certain blocs identitaires qui militent pour recouvrir leur souveraineté contre cette même idéologie qui est responsable de l'état actuel des pays musulmans, vautrés dans l'ignorance et le fanatisme. Rien que dans les pays nord-africains, il semblerai que le combat identitaire berbère a gagné des points en forçant l'autre parti à céder afin de ne pas nourrir le ressentiment contre l'islam qui est bien responsable de l'effacement des identités d'origine des pays nord-africains. En effet devant les menaces de la christianisation de ces pays, céder sur la question identitaire est en soi un moyen d'absorber le mécontentement général face à l'arabisation. 

Cependant, ce que les arabo-musulmans feigne d'ignorer sur le combat de ces patriotes berbères, c'est que leurs revendicationsne ne se limitent pas seulement à l'enseignement et à l'officialisation de la langue berbère. Mais il y a aussi des aspects bien plus profonds qui sont de nature idéologique et politiques pour lesquels les berbères ont de tout temps exprimé leur attachement. La berbérité n'est pas seulement une affaire de langue, mais aussi de culture et d'une certaine vision politique fondée sur une justice sociale en mesure d'assurer certains droits reconnus de tout temps par notre communauté, comme la liberté de conscience et la liberté d'expression. Les berbères ont de tout temps été pour les droits de l’homme, la laïcité et la démocratie.

Le développement de ce courant idéologique fera certainement progresser les valeurs républicaines dans ces pays où elles sont et de tout temps combattues par l’idéologie islamiste qui les assimile à une déviation ou occidentalisation des mœurs. On est même tentés de dire que l’esprit républicain et démocratique inscrit dans notre constitution émane, justement, de ce courant berbériste. Le congrès de la Soumam fut l’œuvre de ce courant de pensée porté par des personnes charismatiques qui ont beaucoup contribué à la révolution algérienne, à l’image d’AbaneRamdane qui fut son architecte.

La plupart des têtes pensantes Kabyles ont pris leur distance avec le courant islamo-baathist. Il est clair que les Kabyles, esprits ouverts et intelligents, ont toujours rejeté le diktat de la religion. Et il faut reconnaitre que cela est une des caractéristiques de l’esprit Kabyle. Certains des arabo-baathistes n’hésitent pas à les qualifier pour cela de renégats ou, parfois, de juifs ; non pas pour souligner leur appartenance religieuse mais pour désigner leur caractère rebelle de nature.

Loin d’être un défaut, ce caractère illustre l’esprit rationnel dont les kabyles ont de tout temps fait preuve. Cette raison conceptualisée par les grecs fut rejeté par la plupart des exégètes musulmans qui ont de tout temps rejeté le témoignage de la raison dans la critique de la religion musulmane. Tous les libres penseurs et les sectes qui se réclamaient de la raison fûrent combattues par les Khalifs musulmans.

La Kabylie a toujours résisté à ce genre d’invasion psychologique. L’amazigh, homme libre de nature, ne peut aucunément se plier sans se dénaturer à ce genre de projet impérialiste qui est l’œuvre d’arabes à l’esprit coquèrent, qui exploite sans vergogne le religieux pour imposer leurs lois.

Ce qui enrichit notre existence et cultive le bonheur c’est le développement de notre gout. Bouleverser nos modes de consommation nous permettra de créer de nouveaux créneaux dans lesquelles pourront se développer notre savoir faire. Sans la consommation, il ne peut y avoir de richesse. Un peuple qui ne vit que de nourriture ne deviendra jamais riche.

Pour diversifier nos modes de consommation, il faut développer notre culture et élargir notre champ de pensée. La culture alimente l’ambition et la volonté des travailleurs et élargit nos champs de consommation.

Ce qui enrichit vraiment c’est la volonté. Et cette volonté, telle une plante, doit trouver un terrain propice pour son développement. Ce terrain, c’est l’art et la culture.

Ainsi ce qui conditionne vraiment notre niveau de vie c’est plus la culture que toute autre théorie économique. On se tire parfois les cheveux pensant que les clés de la solution sont entre les mains des politiques ou des analystes économiques. En fait les philosophes, les vrai ; ceux qui savent percer les énigmes de notre existence sont les vrais architectes des civilisations.

Dieu a mis sa justice dans sa création de manière à ce que tous ceux qui accomplissent le mal dans le monde recueillent, d’une manière ou d’une autre, ses fruits et en subissent ses conséquences dans ce bas monde. Même si, souvent, ça prend du temps pour cela se manifeste. Mais elle se manifestera top ou tard. Rien que la mauvaise conscience et le sentiment de culpabilité suffisent, parfois, à gâcher la vie d’un homme et la transformer en un véritable cauchemar. Le bonheur est le témoignage de notre conscience, le sentiment du devoir accompli et les bonnes actions nous donnent une joie et une paix indescriptible. C’est elle qui rend doux notre sommeil et permet à notre corps de se reposer tout entier dans la paix.

La confiance en la justice divine nourrit la vertu et nous rend patients et indulgents. Le pardon est un fruit qui ne peut croitre que dans un cœur paisible et confiant ; une bonne conscience.

Ce sont nos vertus qui cultivent notre bonheur.  

On a cru passé le temps des fanatismes et des dogmatismes en touts genres. En ce 21 ème siècle, bien que les peuples les plus fermés du monde commencent à s’affranchir du joug des conservatismes, notre peuple persiste dans les méandres d’une conception surannée du monde et refuse toute tentative de progrès dans le sens des droits et des libertés.

Le pire dans tout ça c’est que, bien que de nombreuses personnes soient conscientes de cette situation, au lieu de contribuer à combattre toutes ces idéologies archaïques, préfèrent rester à manger son pain paisiblement dans sa maison sans nullement se soucier des autres.

L’indifférence, la mollesse ; voilà bien les attributs qui caractérisent le mieux notre comportement. Nous nous faisons tous passer pour des maitres de la vertu, des sages qui dispensent leur savoir aux bougres que nous sommes. On donne tous des conseils ; on sait user de paroles savantes pour soigner son image aux yeux des autres. Une société de juges et de moralisateurs qui aiment parler sur le dos des gens ; à décortiquer leurs moindres faits et geste tout en faisant mine d’ignorer les siennes.

Le jour où on se débarrassera de cette manie de juger les autres, nous pourrons enfin entamer le chemin vers la vie et la liberté.

La théorie de l'évolution est une notion scientifique rejetée par la plupart des religieux qui croient encore aux thèses créationnistes. Cependant, nous en tant que scientifiques, nous ne pouvons la rejeter sans une bonne argumentation. Si nous refusons d'admette cette thèse, nous devons être du moins du camps des sceptiques au risque d’abandonner l'esprit rationnel et logique qui fait de nous des scientifiques. Disons que la science évolue, chaque jour il y a de nouvelles découvertes. Etr il est possible que de nouvelles théories et de nouvelles observations pourraient remettre en cause cette théorie, ou bien apporter quelques nuances.  Notre savoir a de tout temps été remis en cause. La question n'est pas définitivement tranchée.

De nobreux scientifiques de renom ont exprimé quelques réserves concernant cette théorie, à l'exemple de Rostand et Jacquard qui, sans être foncièrement croyants, nous exhortent à trouver d'autre explications plus plausibles de notre monde. Ce qu'ils rejettent pardessus tout, c'est le fait qu' un phénomène aussi complexe que la vie soit dû au hasard. 

Souvent, c’est le manque de pratique qui est responsable de nos échecs. Car pour passer du théoriqueau pratique il faut du temps, et pendant ce temps le théorique peut-être délaissé ou oublié et tous les efforts qu’on a fait dans le théorique partent en fumée. En fait, le secret de la réussite n’est ni dans le théorique ni dans le pratique mais les deux à la fois. En effet,  souvent c’est le pratique qui alimente le théorique et puis vice-versa. Mais c’est toujours dans la pratique qu’on prend réellement goût à nos projets.

Fixer par écrit nos idées et nos projets est la première étape dans la concrétisation de nos projets. L’écrit a le mérite de fixer nos idées de manière à ne pas les oublier, pour pouvoir les reprendre plus tard. Les idées nous viennent généralement d’une manière très rapide ; si nous ne prenons pas soin de les fixer, elles seront perdues. De ce fait il est fortement recommandé de se munir d’un petit bloc-notes pour y écrire toutes vos idées. Il faut prendre soin de rassembler et de mettre par écrit toutes vos idées ; ellespourront être développées plus tard. Vous vous constituerai ainsi un capital d’idées qui pourront germer dans le futur en les conjuguant avec d’autres idées.

L’appétit vient en mangeant, de même, les idées viennent par la pratique. Vous ne pouvez avancer sur votre chemin qu’en le parcourant. C’est en visitant les lieux  que vous pourrez trouver des solutions à vos problèmes. Souvent lorsque nous faisons toutes sortes de projets dans nos têtes, nous finissons par les abandonner en pensant aux problèmes qui se présentent. Alors que si vous commencez par les mettre en pratique, petit à petit vous viendrez à bout de ces problèmes, et vous vous apercevrez que tout n’est qu’une affaire de volonté et de bonne organisation.

Ce sont les motivations d’un homme qui peuvent témoigner de sa grandeur d’âme. Faire le bien n’a jamais été l’apanage des religieux. Tant de personnes qui se déclarent non croyantes ont fait tellement de choses bonnes pour l’humanité, et il y en a tellement d’exemples. Nous pouvons citer Colluche, ce grand athée qui a créé Les Restos Du Cœur. Platon nous dit qu’il n’y a pas de bonté véritable ; pour lui l’homme dans tout ce qu’il entreprend cherche toujours un avantage. Même si l’avantage est une promesse divine ou autre chose, cela demeure toujours un avantage.

Y a-t-il une sorte de relativité dans le domaine des valeurs. Ce sont nos conceptions qui déterminent le bien et le mal. Il n’y a pas de bien absolu ni de mal absolu. Tout est relatif.   

 Les événements qui se déroulent actuellement sur la scène politique internationale, surtout en Europe et aux Etats-unis, ne manqueront pas d'avoir des répercussions sur les pays du sous-continent. Il s'avère que tout le discours contre l'islamisme radical amorcé en Europe et la mise à nue de l'idéologie qui est derrière le terrorisme islamiste qui puise ses arguments de l'idéologie des frères musulmans et de son principal maître à penser, à savoir Sayid Qotb, a gagné l'adhésion de larges pans de la société occidentale qui souhaiterai recouvrir leur souveraineté bradée par les politiques imigrationistes portées principalement par la gauche. Ce courant identitaire occidental semble inspire les militants berbères et y voit une opportunité pour gagner des points en forçant le pouvoir à céder sur la question identitaire pour ne pas nourrir le ressentiment contre une composant essentielle de notre identité qui est l'islam, comme ne cèssent de le marteler les partis islamistes. En effet devant les menaces de la christianisation de ces pays, céder sur la question identitaire est en soi un moyen d'absorber le mécontentement général face à l'arabisation. 

Cependant, ce que les arabo-musulmans feigne d'ignorer sur le combat de ces patriotes berbères, c'est que leurs revendications ne ne se limitent pas seulement à l'enseignement et à l'officialisation de la langue berbère. Mais il y a aussi des aspects bien plus profonds qui sont de nature idéologique et politiques pour lesquels les berbères ont de tout temps exprimé leur attachement. La berbérité n'est pas seulement une affaire de langue, mais aussi de culture et d'une certaine vision politique fondée sur une justice sociale en mesure d'assurer certains droits reconnus de tout temps par notre communauté, comme la liberté de conscience et la liberté d'expression. Les berbères ont de tout temps été pour les droits de l’homme, la laïcité et la démocratie. Le congrès de la Summam exprime cet esprit républicain porté principalement par le courant berbériste.

Le développement de ce courant idéologique fera certainement progresser les valeurs républicaines dans ces pays où elles sont et de tout temps combattues par l’idéologie islamiste qui les assimile à une déviation ou occidentalisation des mœurs. On est même tentés de dire que l’esprit républicain et démocratique inscrit dans notre constitution émane, justement, de ce courant berbériste. Le congrès de la Soumam fut l’œuvre de ce courant de pensée porté par des personnes charismatiques qui ont beaucoup contribué à la révolution algérienne, à l’image d’AbaneRamdane qui fut son architecte.

La plupart des têtes pensantes Kabyles ont pris leur distance avec le courant islamo-baathist. Il est clair que les Kabyles, esprits ouverts et intelligents, ont toujours rejeté le diktat de la religion. Et il faut reconnaitre que cela est une des caractéristiques de l’esprit Kabyle. Certains des arabo-baathistes n’hésitent pas à les qualifier pour cela de renégats ou, parfois, de juifs ; non pas pour souligner leur appartenance religieuse mais pour désigner leur caractère rebelle de nature.

Loin d’être un défaut, ce caractère illustre l’esprit rationnel dont les kabyles ont de tout temps fait preuve. Cette raison conceptualisée par les grecs fut rejeté par la plupart des exégètes musulmans qui ont de tout temps rejeté le témoignage de la raison dans la critique de la religion musulmane. Tous les libres penseurs et les sectes qui se réclamaient de la raison fûrent combattues par les Khalifs musulmans.

La Kabylie a toujours résisté à ce genre d’invasion psychologique. L’amazigh, homme libre de nature, ne peut aucunément se plier sans se dénaturer à ce genre de projet impérialiste qui est l’œuvre d’arabes à l’esprit coquèrent, qui exploite sans vergogne le religieux pour imposer leurs lois.

Beaucoup de phénomènes de notre temps ont bien été prédits par diverses croyances, comme cette dissolution de l’humanité dans le vice et l’argent et le mépris des religions et de la morale en général.

« Mon dieu est mon porte-Monnet lorsqu’il est plein »  est la devise des temps modernes. La valeur d’un homme se compte désormais par ce qu’il a dans la poche. Et ce qu’il y a d’inquiétant c’est que cette culture de l’argent s’ai propagé dans toute la planète jusqu’à toucher des pays pauvres où une poignée de gens concentrent la majeur partie des richesses de leurs pays, et laisse leur peuple dans un dénuement terrible. Ne pas avoir de l’argent est devenu la nouvelle définition du péché par cette religion moderne qui a conquit presque tous les esprits.

Que ce soit le sort de Judas qui a trahit son maitre contre une somme d’argent ou la malédiction d’Abou Lahab dans la tradition musulmane, les religions nous dépeignent le sort terrible qui attend nos nouveaux crésus obnubilés par leur richesse et leur pouvoir…La raison de leur profonde haine de toutes les religions et de toutes les croyances allant jusqu’à faire valoir d’autres divinités prêchant la sensualité et les plaisirs terrestres.

Que ce soit dans le domaine politique, économique, la santé,et même notre éducation on trouvera que l’argent a le dernier mot dans les prises de décisions et l’élaboration des plans et du conditionnement de notre culture. Mammon est belle et bien devenu le Dieu des temps modernes !

Certains observateurs de la scène politique et de la société ne cesse de mètre en avant l’impact des lobbys de l’argent sur tous les aspects de notre vie. Cette société de consommation est elle-même forgé dans le but d’assouvir les désirs des requins de l’économie mondiale qui font tout pour vendre leurs biens au mépris de toutes les conventions éthiques et morales.

 La banalisation de la prise de certains produits aux dangers avérés est encouragée par ces grands capitalistes insatiables.

L’exemple le plus édifiant de cette folie capitalistes est illustré par les messages diffusés par les médias de masse qui prêche un model de vie aux antipodes des lois morales et religieuses : la prise d’alcool et de stups, la banalisation de la violence et de la prostitution, la sexualité débridée…etc. toutes ces images qui inondent notre vision et qui conditionnent notre subconscient, ont fait fleurir dans notre société toutes ces nouvelles habitudes contractées par notre jeunesse en manque de repères.

La télévision est bien l’invention qui a le plus bouleversé le monde. Son énorme impact sur les mœurs des sociétés ne cesse d’être mentionné par les sociologues.

La mondialisation est vécut de plusieurs manières par divers peuples. Cerftains le voient comme une bonne choses, d'auyres le considère comme une menace pour leur culure et la subsistance de leurs coutumes. Des choses totalement légitimes et répréhensibles. Cependant ces peurs atteignent parfois des seuils où ça devient un véritable frain pour le progrès et la prospérité.