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Tribalink
4 mars 2015

La grandeur de l'amour

Rien n'est plus puissant que l'amour pour anéantir la puissance du Diable. Si nous refusons d'adopter ce sentiment merveilleux adopté par tous les peuples de la planète malgré les différences c'est qu'on est maudits. Le propre du diable est justement de refuser d'adopter ce sentiment pure qui vient du coeur et qui est la plus resplondissante lumière de notre existance. C'est bien le sentiment qui nous console et nous donne l'envie de vivre; c'est bien le sel de notre existance peuplée de dangers; c'est bien la seule chose capable de remplir notre existance d'affection et de de gout de vivre.

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Qu'est ce qui peut bien empêcher des gens d'adopter une telle chose; comment quelqu'un qui se vante d'apartenir à dieu peut-il se sentir géné par un tel sentiment ou en éprouver de la honte. C'est en grande partie dû à notre conception étroite de ce sentiment qui l' assimile souvent à la débauche et à la sexualité. Celà montre, justement, notre obsession et nos frustrations. Nous sommes tellement obsédés par les désirs de la chaire qu'on est incapables de voire la femme comme un être doté d'esprit et d'intelligence. On est incapable de réfréner nos appétis et nos penchants qui nous entraine vers le vice. Et qu'est ce que celà révèle? Celà révèle l'abscence de vie spirituelle capable de mettre en bride ces envies et ces désirs malsains. Le manque d'une espèce de spiritualité qui nous enseigne à vivre selon l'esprit en méprisant tout les apparâts de la vie présente. La prolifération du discour religieux sur la femme montre justement cette obsession. Le seul remède à ce fléau c'est d'apprendre les délice de la vie spirituelle qui nous apprend justement à nous débarasser de tous ces mauvais penchants qui défigurent l'image de l'amour. Car la satisfaction dans le domaine spirituel compense nos désirs charnels qui nous poussent à convoiter. Celà contribuerai aussi à diminuer notre obsession. La loi n'est bonne que pour les esprits rétrogrades incapables de trouver des solutions plus efficaces et moins barbares. La véritable sagesse nous apprend à régler nos différends à l'amiable et de manière saine et intéligente, loin de la barbarie sans avoir recours à la justice "Dieu nous dit: j'exige de vous que vous soyez bons plutot que de me donner des sacrifices". Savoir diriger nos passions par la modération et le self-control est justement la clef du bonheur.

Une simple demande d'amour dans un campus universitaire a suffit pour suscitter l'animosité chez les islamistes habitués à critiquer toute pratique qui sort des scémas de leur pensée moyen-ageuse digne de l'âge des cavernes.

En quoi un tel acte constitut il une menace pour notre culture. Il suffit de remonter plus loin dans l'histoire de nos contrées pour constater qu'un tel sentiment était bien cultivé et encouragé par plusieurs générations antérieurs à l'avènement de l'islam. 

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